« Tout comme nous sommes sous la coupe de (nos) morts auxquels nous n’avons pas envoyé notre aide (...) chacune de nos actions a des répercussions, aussi infimes soient-elles, sur l’avenir de ceux qui nous succéderont. Chaque fois que nous faisons du mal, nous le faisons à nos descendants, qui le porteront sans en être conscients. Ils en auront les effets indésirables, c’est-à-dire tout ce qui s’exprime à travers les maladies génétiques et les dépressions, sans compter toute autre forme d’anomalies ou pathologies. »